Experts en : Écologie des communautés
BRODEUR, Jacques
Professeur titulaire
- Biodiversité
- Changements climatiques
- Développement durable
- Écologie
- Écologie comportementale
- Écologie des communautés
- Écologie moléculaire
- Entomologie
- Espèces envahissantes
- Évolution
- Insectes
- Lutte biologique
- Parasitisme
- Parasitoïde
Relations plantes-insectes et lutte biologique. Écologie urbaine.
Notre recherche s’intègre principalement au sein de l’axe écologie et environnement de l’Institut de Recherche en Biologie Végétale. Les travaux s’articulent autour de plusieurs modèles biologiques et se réalisent au laboratoire, en serre mais de préférence en milieu naturel.
CHAGNON, Pierre-Luc
Professeur associé
- Champignons mycorhiziens
- Symbioses
- Écologie fonctionnelle
- Phytotechnologie
- Réseaux écologiques
- Bioinformatique
- Restauration écologique
- Stratégies d'histoire de vie
- Agroécosystèmes
- Stockage du carbone
- Écologie des sols
- Assemblage des communautés
- Écologie microbienne
- Symbioses mycorhiziennes
- Plantes
- Interactions plantes-sol
- Écologie des communautés
- Réseaux d'interactions
- Écologie comportementale
Dans mon laboratoire, nous étudions les interactions plantes-microorganismes, et leur impact sur le fonctionnement des écosystèmes terrestres. Nous utilisons une grande variété d’approches (observationnelles et expérimentales) et de concepts (e.g., théorie des réseaux, écologie comportementale) pour tester des hypothèses fondamentales et appliquées en écologie végétale et microbienne. Un pan de ma recherche vise plus spécifiquement à mieux comprendre comment les traits des microorganismes peuvent nous aider à mieux prédire leur éventuelle utilité dans le cadre de diverses phytotechnologies (e.g., phytorémédiation de sols pollués, toits verts, restauration de berges).
CUERRIER, Alain
Professeur associé
- Écologie
- Écologie des communautés
- Plantes
- Conservation des plantes
- Biodiversité
- Biodiversité végétale
- Changements climatiques
- Arctique
- Humain et animal
Ethnobotaniste, mon domaine de recherche est à la confluence de l’être humain, du monde animal, du monde végétal et de leurs habitats ou biomes.
Je travaille sur la vision qu’ont les Premières Nations du Québec des animaux, des végétaux et du paysage. Je me penche plus particulièrement sur leur utilisation des plantes, qu’elles soient traditionnelles, médicinales ou alimentaires. Le lien identitaire des communautés des Premières Nations avec les milieux naturels est très fort. L’objectif de mes travaux est de documenter, conserver et redonner à ces communautés leur savoir en perdition car essentiellement transmis par l’oralité.
HARVEY, Éric
Professeur associé
- Écologie des communautés
- Hétérogénéité spatiale
- Dynamique des écosystèmes
- Écosystème
- Biodiversité
- Assemblage des communautés
- Écologie
- Écologie aquatique
- Réseaux écologiques
- Conservation des habitats
Je suis un écologiste des communautés avec un large intérêt pour l'écologie des métacommunautés / méta-écosystèmes et des réseaux trophiques. Plus précisément, je cherche à comprendre les mécanismes qui structurent les communautés d'espèces en interaction et comment cette structure influence, en retour, le fonctionnement des écosystèmes. En bref, je m'intéresse à la manière dont les communautés et l'écologie des écosystèmes interagissent. Je suis également très intéressé à faire le pont entre la théorie et les sciences de la conservation en favorisant une meilleure communication entre les deux domaines et en développant un programme de recherche centré sur les tests empiriques de la théorie écologique.
LAJOIE, Geneviève
Professeure associée
- Écologie des communautés
- Écologie microbienne
- Symbioses
- Génomique
- Bioinformatique
- Phylogénétique
- Bactéries
- Écologie fonctionnelle
Comprendre l’origine et les conséquences de la diversité microbienne sur Terre constitue une priorité pour les biologistes du XXIe siècle. Allant de l’amélioration de la santé humaine et végétale au maintien de la qualité de l’air, de l’eau et des sols, les applications de la recherche en écologie microbienne sont particulièrement pertinentes pour répondre aux grands défis environnementaux de notre temps.
Ma recherche à l’IRBV a pour objectif de comprendre les mécanismes écologiques et évolutifs à l’origine des associations entre les plantes et leurs microbes foliaires. Notamment, mon laboratoire cherche à comprendre quels types de microbes vivent à la surface et dans les feuilles des plantes, et quelles adaptations leur permettent de survivre dans ces milieux. Nous combinons plusieurs approches conceptuelles et expérimentales pour aborder ces questions, notamment des approches basées sur les traits des organismes et leurs relations phylogénétiques. Nous nous intéressons également à la façon dont le microbiote végétal peut participer à la prévention des maladies chez les plantes du Jardin Botanique de Montréal.
LEGENDRE, Pierre
Professeur titulaire
- Écologie numérique
- Phylogénétique
- Analyse spatiale
- Analyse statistique multivariable
- Biodiversité
- Diversité bêta
- Écologie
- Écologie des communautés
- Écologie du paysage
- Écologie numérique en R
- Évolution
- Évolution réticulée
- Génétique du paysage
- Génomique du paysage
- Statistique écologique
- Vecteurs propres spatiaux
Pierre Legendre étudie les processus qui déterminent la composition des communautés d'organismes vivants. Il a grandement contribué à l’essor de l’« écologie numérique ». Faisant autorité dans ce domaine, il collabore avec des chercheurs de partout dans le monde.
PATONAI, Katalin
Professeure adjointe
POISOT, Timothée
Professeur agrégé
- Écologie computationnelle
- Biostatistique
- Écologie des communautés
- Modélisation
- Coévolution
- Interactions biotiques
- Réseaux d'interactions
- Biodiversité
- Écologie évolutive
- Analyse phylogénétique
- Écologie quantitative
- Écologie numérique
- Calcul scientifique
- Informatique de la biodiversité
Mes questions centrales sont:
- comment la variation spatio-temporelle des interactions biotique contribue à la distribution spatiale des propriétés écosystemiques
- comment intégrer la variabilité des interactions dans les approches de conservation et de gestion (notamment du risque infectieux)
- comment intégrer différents domaines de l'écologie pour développer des méthodes numériques permettant de prédire la structure des interactions entre espèces sachant que les observations empiriques sont difficiles/couteuses/rares.