Experts en : Coévolution
JOUSSELIN, Emmanuelle
Chercheuse invitée
- Plantes
- Conservation des plantes
- Reproduction des plantes
- Phytochimie
- Phytotechnologie
- Insectes
- Bactéries
- Symbioses
- Symbioses mycorhiziennes
- Biodiversité
- Biodiversité végétale
- Biodiversité des insectes
- Modélisation bio-physique
- Coévolution
- Écologie évolutive
- Évolution
- Évolution moléculaire
- Phylogénétique
- Taxonomie
- Taxonomie végétale
- Temps géologiques
Je travaille sur l’évolution des interactions interspécifiques (plantes/ phytophages, insectes phytophages/bactéries symbiotiques) et leur rôle dans la diversification du vivant. Depuis mon recrutement à l’INRA, j’ai développé un programme de recherche sur les pucerons (Hemiptera : Aphididae). Ceux-ci représentent à la fois des modèles biologiques fascinants en biologie évolutive de par la complexité de leurs cycles de vie et leur spécialisation vis-à-vis de leurs plantes hôtes et un groupe d’importance agronomique puisqu’ils regroupent des espèces responsables de dégâts importants sur les cultures et les plantes d’ornementation. Mes travaux tentent à partir d’études phylogénétiques ciblées sur quelques groupes de mettre en évidence le rôle de l’adaptation vis-à-vis des plantes hôtes dans l’évolution et la diversification des pucerons. Je travaille pour cela à différentes échelles taxonomiques (au niveau genre et à l’intérieur de complexes d’espèce) reflétant différentes échelles de temps.
POISOT, Timothée
Professeur agrégé
- Écologie computationnelle
- Biostatistique
- Écologie des communautés
- Modélisation
- Coévolution
- Interactions biotiques
- Réseaux d'interactions
- Biodiversité
- Écologie évolutive
- Analyse phylogénétique
- Écologie quantitative
- Écologie numérique
- Calcul scientifique
Mes questions centrales sont:
- comment la variation spatio-temporelle des interactions biotique contribue à la distribution spatiale des propriétés écosystemiques
- comment intégrer la variabilité des interactions dans les approches de conservation et de gestion (notamment du risque infectieux)
- comment intégrer différents domaines de l'écologie pour développer des méthodes numériques permettant de prédire la structure des interactions entre espèces sachant que les observations empiriques sont difficiles/couteuses/rares.