Experts en : Écologie microbienne
CHAGNON, Pierre-Luc
Professeur associé
- Champignons mycorhiziens
- Symbioses
- Écologie fonctionnelle
- Phytotechnologie
- Réseaux écologiques
- Bioinformatique
- Restauration écologique
- Stratégies d'histoire de vie
- Agroécosystèmes
- Stockage du carbone
- Écologie des sols
- Assemblage des communautés
- Écologie microbienne
- Symbioses mycorhiziennes
- Plantes
- Interactions plantes-sol
- Écologie des communautés
- Réseaux d'interactions
- Écologie comportementale
Dans mon laboratoire, nous étudions les interactions plantes-microorganismes, et leur impact sur le fonctionnement des écosystèmes terrestres. Nous utilisons une grande variété d’approches (observationnelles et expérimentales) et de concepts (e.g., théorie des réseaux, écologie comportementale) pour tester des hypothèses fondamentales et appliquées en écologie végétale et microbienne. Un pan de ma recherche vise plus spécifiquement à mieux comprendre comment les traits des microorganismes peuvent nous aider à mieux prédire leur éventuelle utilité dans le cadre de diverses phytotechnologies (e.g., phytorémédiation de sols pollués, toits verts, restauration de berges).
LAJOIE, Geneviève
Professeure associée
- Écologie des communautés
- Écologie microbienne
- Symbioses
- Génomique
- Bioinformatique
- Phylogénétique
- Bactéries
- Écologie fonctionnelle
Comprendre l’origine et les conséquences de la diversité microbienne sur Terre constitue une priorité pour les biologistes du XXIe siècle. Allant de l’amélioration de la santé humaine et végétale au maintien de la qualité de l’air, de l’eau et des sols, les applications de la recherche en écologie microbienne sont particulièrement pertinentes pour répondre aux grands défis environnementaux de notre temps.
Ma recherche à l’IRBV a pour objectif de comprendre les mécanismes écologiques et évolutifs à l’origine des associations entre les plantes et leurs microbes foliaires. Notamment, mon laboratoire cherche à comprendre quels types de microbes vivent à la surface et dans les feuilles des plantes, et quelles adaptations leur permettent de survivre dans ces milieux. Nous combinons plusieurs approches conceptuelles et expérimentales pour aborder ces questions, notamment des approches basées sur les traits des organismes et leurs relations phylogénétiques. Nous nous intéressons également à la façon dont le microbiote végétal peut participer à la prévention des maladies chez les plantes du Jardin Botanique de Montréal.
ORKIN, Joseph
Professeur adjoint
- Génétique des populations
- Bioinformatique
- Génomique du paysage
- Primatologie
- Génomique comparative
- Écologie moléculaire
- Écologie microbienne
- Conservation de la biodiversité
- Adaptation
- Évolution
- Biodiversité
- Chine
- Madagascar
- Costa Rica
Mon laboratoire utilise des outils moléculaires - génomique, métagénomique et protéomique - pour répondre à des questions anthropologiques.
Primatologie moléculaire
- Adaptation des primates à des environnements changeants et hostiles
- Génomique des populations de primates en liberté
- Écologie microbienne intestinale des primates
Anthropologie des aliments fermentés et conservés
- Écologie microbienne de la fermentation alimentaire
- Interaction bioculturelle entre l'homme et les aliments qu'il produit
Développement de nouvelles méthodes d'écologie moléculaire non invasive
- fecalFACS
- Chiens détecteurs d'excréments
PINEL-ALLOUL, Bernadette
Professeure associée, Professeure émérite
- Plancton
- Plantes aquatiques
- Pollution
- Bioaccumulation des métaux
- Biodiversité
- Bioindicateurs
- Biomarqueurs
- Communautés zooplanctoniques
- Écologie
- Écologie du plancton
- Écologie microbienne
- Écotoxicologie
- Écotoxicologie aquatique
- Hétérogénéité spatiale
- Limnologie
- Modélisation environnementale
- Structure en taille
- Qualité de l'eau
- Liens terre-eau
- Plantes envahissantes
- Métaux
- Impacts cumulatifs
- Lacs
- Fleuves
Le programme de recherche de la professeure Bernadette Pinel-Alloul se concentre sur l’écologie du plancton. Elle étudie la variation du plancton dans l’espace, en particulier ce qui influence sa répartition et sa composition (ex. : l’acidité de l’eau, l'eutrophisation, l’utilisation du bassin versant, leur niveau dans la chaîne alimentaire). De façon plus appliquée, elle étudie l’impact de l’environnement naturel et de l’être humain sur ces organismes : coupes forestières, précipitations acides, mise en eau de réservoirs nordiques, eutrophisation des lacs, contamination aux métaux lourds, etc.