Experts en : Stockage du carbone
CHAGNON, Pierre-Luc
Professeur associé
- Champignons mycorhiziens
- Symbioses
- Écologie fonctionnelle
- Phytotechnologie
- Réseaux écologiques
- Bioinformatique
- Restauration écologique
- Stratégies d'histoire de vie
- Agroécosystèmes
- Stockage du carbone
- Écologie des sols
- Assemblage des communautés
- Écologie microbienne
- Symbioses mycorhiziennes
- Plantes
- Interactions plantes-sol
- Écologie des communautés
- Réseaux d'interactions
- Écologie comportementale
Dans mon laboratoire, nous étudions les interactions plantes-microorganismes, et leur impact sur le fonctionnement des écosystèmes terrestres. Nous utilisons une grande variété d’approches (observationnelles et expérimentales) et de concepts (e.g., théorie des réseaux, écologie comportementale) pour tester des hypothèses fondamentales et appliquées en écologie végétale et microbienne. Un pan de ma recherche vise plus spécifiquement à mieux comprendre comment les traits des microorganismes peuvent nous aider à mieux prédire leur éventuelle utilité dans le cadre de diverses phytotechnologies (e.g., phytorémédiation de sols pollués, toits verts, restauration de berges).
LABRECQUE, Michel
Professeur associé
- Phytoremédiation
- Phytotechnologie
- Friches industrielles
- Saules
- Salix
- Production de biomasse
- Restauration
- Contaminant
- Contamination des sols
- Développement durable
- Écologie forestière
- Carbone
- Stockage du carbone
Les études conduites par notre laboratoire s’intéressent au fonctionnement physiologique des végétaux et abordent diverses problématiques environnementales. Ainsi au cours des dernières années, de nombreux projets de recherche appliquée ont été conduits permettant d’explorer des éléments de solution à divers problèmes environnementaux mais favorisant également une meilleure compréhension du fonctionnement des plantes.
L’assimilation des éléments nutritifs, de contaminants ou des éléments traces constituent des thématiques qui reviennent souvent dans les problématiques abordées. Parfois il s’agit d’étudier les impacts d’apports de fertilisants organiques sous diverses formes (boues, lisiers, etc.) sur les plantes et l’environnement, parfois on s’intéressera davantage à la présence de métaux lourds, qu’ils soient présents dans les engrais organiques ou contenus dans les sols sous forme de contaminants. Plus récemment, nous avons entrepris des études sur des milieux contaminés par des polluants organiques (HAP, BPC, etc.). Dans ce contexte, les études conduites intègrent des approches génomiques et bioinformatiques et sont réalisées en collaboration avec plusieurs chercheurs d’autres disciplines. Ces études ont pour objectifs de mieux comprendre les interactions entre les entre les microorganismes et le système racinaire des plantes en présence de tels polluants.
Notre équipe est également intéressée par les cultures intensives sur courtes rotations (CICR) impliquant notamment des saules (Salix), tirant souvent profit des caractéristiques très particulières de ces espèces: rapidité de croissance, grand pouvoir d’enracinement et facilité exceptionnelle à pouvoir se propager végétativement. Ici, nous nous intéressons à la faisabilité opérationnelle de ce type de culture et à l’accroissement des rendements en biomasse tant par la sélection de meilleurs cultivars que par l’amélioration des techniques de culture.