Experts en : Écologie forestière
BRISSON, Jacques
Professeur titulaire
- Biodiversité
- Biodiversité végétale
- Compétition
- Dynamique végétale
- Écologie
- Écologie forestière
- Écologie urbaine
- Maîtrise de la végétation
- Marais filtrants
- Milieux humides
- Phragmites
- Phytotechnologie
- Plantes envahissantes
- Plasticité de croissance
- Restauration
- Services écologiques
Les travaux de recherche du laboratoire de dynamique végétale portent sur l’identification et la quantification des mécanismes de la compétition intra- et inter-spécifique pour l’espace. Sur le plan fondamental, l’objectif poursuivi consiste à intégrer la plasticité de croissance chez les végétaux au phénomène de compétition entre plantes voisines et d’en évaluer les conséquences sur la dynamique végétale. L’expertise acquise par le laboratoire sur la compétition et l’occupation de l’espace par les plantes est mise à profit dans le cadre de travaux de nature appliquée visant à solutionner des problèmes d’ordre environnemental, comme la maîtrise des plantes envahissantes ou l’épuration des eaux usées par l’utilisation de macrophytes à croissance rapide.
FAVRET, Colin
Directeur de la Station de biologie des Laurentides, Professeur agrégé
- Insectes
- Entomologie
- Systématique des insectes
- Biodiversité des insectes
- Évolution
- Écologie forestière
- Saint-Laurent
Notre équipe conduit une vaste gamme de recherches s’articulant autour de la systématique et de la diversité des insectes. Nous tentons de faire avancer la recherche sur l’évolution et la spéciation des insectes se nourrissant de plantes, à savoir les pucerons qui ont une histoire évolutive étroitement associée avec celle de leurs plantes hôtes. Nos recherches portant sur l’évolution des pucerons, nous ne pouvons faire autrement que de découvrir de nouvelles espèces pour la science. Nous jugeons donc essentiel de décrire, classifier et réviser les taxons de pucerons qui ne sont qu’une famille d’insectes parmi tant d’autres. Nous sommes aussi intéressé à comprendre la diversité des insectes dans son ensemble en nous concentrant sur la capture d’insectes dans différents microhabitats de la forêt laurentienne.
LABRECQUE, Michel
Professeur associé
- Phytoremédiation
- Phytotechnologie
- Friches industrielles
- Saules
- Salix
- Production de biomasse
- Restauration
- Contaminant
- Contamination des sols
- Développement durable
- Écologie forestière
- Carbone
- Stockage du carbone
Les études conduites par notre laboratoire s’intéressent au fonctionnement physiologique des végétaux et abordent diverses problématiques environnementales. Ainsi au cours des dernières années, de nombreux projets de recherche appliquée ont été conduits permettant d’explorer des éléments de solution à divers problèmes environnementaux mais favorisant également une meilleure compréhension du fonctionnement des plantes.
L’assimilation des éléments nutritifs, de contaminants ou des éléments traces constituent des thématiques qui reviennent souvent dans les problématiques abordées. Parfois il s’agit d’étudier les impacts d’apports de fertilisants organiques sous diverses formes (boues, lisiers, etc.) sur les plantes et l’environnement, parfois on s’intéressera davantage à la présence de métaux lourds, qu’ils soient présents dans les engrais organiques ou contenus dans les sols sous forme de contaminants. Plus récemment, nous avons entrepris des études sur des milieux contaminés par des polluants organiques (HAP, BPC, etc.). Dans ce contexte, les études conduites intègrent des approches génomiques et bioinformatiques et sont réalisées en collaboration avec plusieurs chercheurs d’autres disciplines. Ces études ont pour objectifs de mieux comprendre les interactions entre les entre les microorganismes et le système racinaire des plantes en présence de tels polluants.
Notre équipe est également intéressée par les cultures intensives sur courtes rotations (CICR) impliquant notamment des saules (Salix), tirant souvent profit des caractéristiques très particulières de ces espèces: rapidité de croissance, grand pouvoir d’enracinement et facilité exceptionnelle à pouvoir se propager végétativement. Ici, nous nous intéressons à la faisabilité opérationnelle de ce type de culture et à l’accroissement des rendements en biomasse tant par la sélection de meilleurs cultivars que par l’amélioration des techniques de culture.