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Maîtrise en sciences biologiques

La Maîtrise en sciences biologiques de l’Université de Montréal amène les étudiants à devenir des acteurs éclairés, compétents et créatifs du processus d’acquisition de connaissances et de recherche au sujet des structures, des fonctions et des interactions biologiques.

Les étudiants utiliseront l’approche expérimentale ou comparative pour élucider les mécanismes ou les interrelations qui s’expriment à des échelles spatiales allant de la molécule à la biosphère et à des échelles temporelles allant de l’instantanéité de la transmission synaptique à la lenteur du recyclage des éléments des cycles biogéochimiques. Ils seront amenés à développer leurs compétences techniques, leur sens critique, leur capacité à identifier les implications fondamentales et appliquées de leurs résultats de recherche et leur habileté à communiquer le fruit de leurs travaux.

OPTION RECHERCHE EN BIOLOGIE
  • 45 crédits : 3 à 6 crédits à option et maximum 3 au choix, 39 obligatoires pour recherche et rédaction mémoire

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L’option recherche en biologie amène les étudiants à comprendre et appliquer toutes les phases de la méthodologie scientifique dans un champ des sciences biologiques. Sous la supervision d'un directeur de recherche, les étudiants doivent apprendre à repérer la littérature pertinente, à observer, à poser un problème bien défini, à formuler une hypothèse, à effectuer une expérimentation ou une collecte de données appropriées, à analyser les résultats et à en tirer la signification et finalement à rédiger un document scientifique rapportant leurs résultats. La maîtrise de recherche constitue le plus souvent une étape vers les études de 3e cycle.

La maîtrise option recherche en biologie vise en outre à préparer les étudiants au marché du travail en leur donnant les outils et connaissances appropriés dans les domaines théoriques et pratiques de leur sujet de spécialisation. On s'attendra des étudiants qu'ils puissent conduire de la recherche et du développement avec un certain encadrement. Ils devront pouvoir communiquer clairement les résultats de leurs travaux, verbalement et par écrit, avec un minimum de supervision. Autant que possible, la recherche réalisée à la maîtrise devrait mener à la publication d'un article scientifique dans une revue spécialisée avec comité de lecture.

Un cadre de recherche idéal

Les étudiants de la maîtrise en sciences biologiques intègrent des centres de recherches et laboratoires de premier plan et profitent d’équipements dernier cri. L’Université de Montréal affiche de fait le 2e budget de recherche en importance au Canada en sciences biologiques.

L’encadrement aux études supérieures constitue une autre force du Département. Parmi les plus réputés au pays, le corps professoral est reconnu pour son expertise, sa convivialité et son dynamise : plusieurs jeunes professeurs recrutés au cours des dernières années ont insufflé un nouvel élan à la recherche.

Quelle que soit la thématique choisie, l’apprentissage de la rigueur méthodologique et des procédés scientifiques balisent les travaux de recherche des étudiants. À terme, une recherche pertinente et étoffée pourra mener à la publication d'un article scientifique dans une revue avec comité de lecture.

Profitant d’une excellente réputation, ici comme à l’étranger, la maîtrise de l’UdeM conviendra tant aux futurs diplômés misant sur l’expertise acquise pour intégrer le marché du travail qu’à ceux visant des études de doctorat. 

Financement garanti  

Tous les étudiants de l’option « Recherche en biologie » à la maîtrise bénéficient d’un financement garanti minimal de 13 000 $ par année. Cette somme peut être augmentée par les nombreuses bourses offertes par le Département et par les laboratoires eux-mêmes, selon les thématiques qui font l'objet de subventions préalablement attribuées. 

Communiquer avec son futur directeur

Tout aspirant étudiant de 2e cycle doit d’abord entrer en contact avec les professeurs susceptibles de diriger leurs recherches. Consultez la page Expertises de recherche afin de trouver les professeurs et chercheurs à même d’encadrer votre mémoire.

OPTION BIOLOGIE QUANTITATIVE ET COMPUTATIONNELLE
  • 45 crédits : 6 obligatoires, 36 à option dont 12 à 18 de stages de recherche ou de travaux dirigés.

       Les demandes d’admission sont acceptées seulement pour le trimestre d’automne.

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L’option biologie quantitative et computationnelle procure aux étudiants une formation de pointe dans tous les aspects reliés à la récolte, l’organisation, la gestion, l’analyse, la modélisation et l’interprétation de données biologiques. À l’aide de cours, des stages avancés de recherche en milieu professionnel ou des travaux dirigés en milieu universitaire de recherche, les étudiants acquerront les compétences et les habiletés leur permettant d’obtenir des réponses scientifiquement valides et reposant sur les plus récents progrès de la recherche pour une gamme de thématiques allant de la biologie moléculaire à l’écologie, de l’évolution à la conservation et de la phylogénie à la santé environnementale. Au terme de leur formation, les étudiants devront pouvoir formuler et tester des hypothèses scientifiques, répondre à des questions biologiques, émettre des conclusions et des recommandations et communiquer clairement les résultats de leurs analyses, verbalement et par écrit, avec un minimum de supervision.

La maîtrise option biologie quantitative et computationnelle vise particulièrement à préparer les étudiants au marché du travail ou à permettre à des personnes qui détiennent déjà un emploi de mettre à jour leurs connaissances en analyse quantitative de données biologiques en utilisant les méthodes de pointe émanant de la recherche dans le domaine. Elle peut également constituer une étape menant vers des études de 3e  cycle.

Les cheminements proposés par cette option sont la phylogénie et l'évolution, la biologie des communautés et l'écologie quantitative.

Stages : un monde de possibilités

 Les stages en milieu professionnel pourront être réalisés au sein des :

  • compagnies privées (compagnies d’ingénieurs-conseils et de biologistes-conseils, compagnies œuvrant dans les domaines de l’horticulture et de l’agroalimentaire, compagnies forestières, minières et pharmaceutiques);
  • ministères provinciaux (Affaires municipales et de l’Occupation du territoire, Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, Économie, de la Science et de l’Innovation, Énergie et des Ressources naturelles, Forêts, de la Faune et des Parcs, Santé et Services sociaux, Transports, de la Mobilité durable et de l’Électrification des transports);
  • ministères fédéraux (Affaires autochtones et du Nord, Agriculture et Agroalimentaire, Environnement et Changement climatique, Innovation, Sciences et Développement économique, Patrimoine canadien, Pêches et Océans, Ressources naturelles, Transports);
  • agences, bureaux et centres paragouvernementaux au niveau provincial (Bureau d’audiences publiques sur l’environnement, Bureau du forestier en chef, Centre de toxicologie, Centre d’expertise hydrique, Centre intégré de santé et services sociaux, Commissaire de la qualité de l’environnement, Fondation de la faune, Hydro-Québec, Institut de la statistique du Québec, Institut national de santé publique, Institut national des mines, Régie de l’énergie, Société de développement de la Baie James, Société du plan nord, Société québécoise de récupération et de recyclage);
  • agences, bureaux et centres paragouvernementaux au niveau fédéral (Commission canadienne des affaires polaires, Commission de révision agricole, Agence canadienne d’évaluation environnementale, Centre canadien des eaux intérieures, Parcs Canada, Révision de la protection de l’environnement, Agence canadienne de développement économique du Nord, Conseil de recherche en sciences humaines, Conseil de recherche en sciences et en génie, Conseil national de recherches, Statistique Canada, Musée canadien de la nature, Office de commercialisation des poissons d’eau douce). 

Ces milieux professionnels représentent autant de débouchés potentiels pour les étudiants formés dans le cadre de l’option biologie quantitative et computationnelle. 

Enseigner au collégial

L’enseignement au collégial compte parmi les débouchés qu’offre la maîtrise en sciences biologiques. Les étudiants qui le souhaitent pourront profiter des postes d’auxiliaire d’enseignement offerts à la maîtrise afin d’expérimenter certains aspects pédagogiques en sciences biologiques.   

Notez par ailleurs que, selon Emploi Cégep, une formation complémentaire de pédagogue favorise l’accès aux emplois du secteur collégial. Le microprogramme en enseignement postsecondaire de l’UdeM peut s’avérer profitable à ce titre.

Des questions sur le programme?

Tiana Alexander, technicienne en gestion des dossiers étudiants : 514 343-6111, poste 1205
Annie Angers, responsable du programme : 514 343-7012


Structure du programme
International
Mémoires déposés en sciences biologiques


    Les + d’étudier les sciences biologiques à l’UdeM!

    • Avoir accès au tout nouveau Complexe des sciences, un environnement à la fine pointe de la technologie, dès le trimestre d'automne 2019.
    • Des laboratoires et groupes de recherche qui rassemblent les esprits les plus fertiles en sciences biologiques au pays : biologie végétale, écologie aquatique, développement durable et hydroélectricité, génomique, protéomique, bio-informatique, assainissement des sols, etc.