Passer au contenu

/ Département de sciences biologiques

Je donne

Rechercher

Navigation secondaire

Les centres, groupes et chaires de recherche

Le Département possède plusieurs infrastructures et travaille en collaboration avec des équipes reconnues aux niveaux national et international.

Nos centres de recherche

Centre sur la biodiversité de l’Université de Montréal

Logo du Centre sur la biodiversité de l’Université de Montréal

Situé au cœur du Jardin botanique de Montréal, le Centre sur la biodiversité de l’Université de Montréal est un centre d’excellence en conservation et informatisation de collections biologiques et en recherche et formation sur la biodiversité.

EN SAVOIR PLUS

Institut de recherche en biologie végétale

Logo de l'Institut de recherche en biologie végétale

Situé au Jardin botanique de Montréal, l’Institut de recherche en biologie végétale (IRBV) est un centre spécialisé en recherche et en enseignement de la biologie végétale. Ses installations modernes et son matériel végétal incomparable en font un site exceptionnel pour la recherche fondamentale et appliquée.

Rencontrez des chercheurs passionnés par le développement et la transmission des connaissances en biologie végétale, en biologie moléculaire et en écologie.

EN SAVOIR PLUS

Station de biologie des Laurentides

Située à St-Hippolyte, dans les Basses-Laurentides, la Station de biologie des Laurentides (SBL) est un centre de recherche et de formation universitaire pour le développement des futurs leaders en sciences écologiques et environnementales.

Véritable laboratoire naturel en milieu protégé, la Station attire les étudiants et chercheurs curieux d’en apprendre davantage en milieu terrestre ou aquatique. La Station est aussi une référence en matière de développement durable.

EN SAVOIR PLUS

Des étudiantes et des étudiants travaillent à la Station de biologie des Laurentides

Nos groupes de recherche

Groupe de recherche interuniversitaire en limnologie et en environnement aquatique

Logo du Groupe de recherche interuniversitaire en limnologie et en environnement aquatique

Regroupant 38 chercheurs de huit institutions québécoises, le Groupe de recherche interuniversitaire en limnologie et en environnement aquatique (GRIL) vise à mieux comprendre les lacs, cours d’eau et écosystèmes qui les abritent.

Considéré comme l’un des principaux centres de recherche en écologie des eaux douces au Canada, le GRIL rassemble plus de 200 étudiants de cycles supérieurs, stagiaires postdoctoraux et professionnels de recherche.

EN SAVOIR PLUS

Centre de la science de la biodiversité du Québec

Logo du Centre de la science de la biodiversité du Québec

Le Centre de la Science de la Biodiversité du Québec (CSBQ) regroupe plus de 120 chercheurs, dont 21 du Département de Biologie, ainsi que nombreux partenaires nationaux et internationaux.

L’objectif du CSBQ est de faciliter l’émergence d’une science intégrée de la biodiversité au Québec. Le CSBQ offre plusieurs mesures et moyens humains afin, d'étudier, découvrir et utiliser de façon durable la biodiversité du Québec.

EN SAVOIR PLUS

VASCAN

VASCAN est une nouvelle base de données sur les plantes vasculaires du Canada créée par le réseau Canadensys dont les recherches sont subventionnées pour ses cinq premières années par la Fondation canadienne pour l’innovation (FCI).

La mission de Canadensys est de mettre l’information contenue dans les collections biologiques des universités canadiennes en accès libre. Elle y arrive au moyen d’un réseau de bases de données distribuées compatible avec d’autres réseaux d’information sur la biodiversité tels que le Système canadien d’information sur la biodiversité (SCIB) et le Système mondial d’information sur la biodiversité (SMIB/GBIF).

Pendant sa phase initiale, le réseau se concentrera sur les données de trois groupes d’organismes parmi les plus divers et les plus importants des points de vue écologique et économique : les plantes, les insectes et les champignons. Ces deux derniers figurent aussi parmi les groupes les moins bien connus et répertoriés.

EN SAVOIR PLUS

Nos chaires de recherche

Chaire de recherche du Canada en science et viabilité des écosystèmes aquatiques

Les lacs, les étangs, les rivières, les ruisseaux, les sources, les tourbières et les zones humides sont tous des exemples d’écosystèmes d’eau douce. Ils offrent un certain nombre de services que les gens tiennent souvent pour acquis. Ils peuvent par exemple contrôler les inondations, purifier l’eau, stabiliser les rivages et capturer le dioxyde de carbone.En tant que Chaire de recherche du Canada en science et durabilité des écosystèmes aquatiques, Roxane Maranger entend protéger les eaux douces et leurs services écosystémiques en déterminant comment les connexions entre les bassins hydrographiques et les variations de taille et de forme peuvent rendre les lacs moins ou plus vulnérables aux pressions du développement et des changements climatiques. Mme Maranger et son équipe de recherche conçoivent de nouvelles approches pour évaluer les lacs à de grandes échelles spatiales. Ils veulent déterminer les seuils de développement des bassins versants qui peuvent entraîner des changements brusques dans les capacités des lacs à traiter le carbone et les nutriments qui influencent les services écosystémiques. Ultimement, ils espèrent découvrir de meilleures façons de protéger les écosystèmes d’eau douce des facteurs de stress environnementaux et élaborer des conseils pour soutenir la durabilité des ressources en eau douce.

EN SAVOIR PLUS

Chaire de recherche du Canada en écotoxicologie et changements mondiaux

Les métaux rares et les éléments du groupe du platine constituent des éléments essentiels des technologies et des produits industriels que nous utilisons tous les jours – depuis les téléphones intelligents jusqu’aux convertisseurs catalytiques. Mais nous ne connaissons pas encore suffisamment les problèmes environnementaux liés à leur exploitation minière pour créer une réglementation solide.

Marc Amyot, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en écotoxicologie et changements globaux, entend combler cette lacune en étudiant le sort des contaminants dans un environnement en constante évolution. En coproduisant des connaissances avec les communautés attikameks, innues, naskapies et inuites, M. Amyot et son équipe de recherche tentent de répondre à des questions comme : quelles sont les répercussions des changements environnementaux liés au climat sur la mobilité des contaminants? Comment les contaminants se bioaccumulent-ils et se déplacent-ils dans les réseaux alimentaires des systèmes aquatiques? Comment les changements dans le régime alimentaire des communautés autochtones affectent-ils leur exposition aux contaminants? Et quelles méthodes de restauration peuvent le mieux atténuer l’impact des contaminants dans les systèmes fragiles du Nord et les agroécosystèmes du Sud? Les réponses qu’ils découvriront contribueront à orienter les futures réglementations environnementales.

EN SAVOIR PLUS

Chaire de recherche du Canada en biodiversité fonctionnelle végétale

En tant que titulaire de la chaire de recherche du Canada en biodiversité fonctionnelle végétale, Etienne Laliberté et son équipe tentent de mieux comprendre et prédire les changements de biodiversité végétale et leurs conséquences sur les écosystèmes par l’étude des adaptations morphologiques et physiologiques des plantes, qu’on appelle « traits fonctionnels », sous des environnements changeants.

EN SAVOIR PLUS

Chaire de recherche industrielle CRSNG / Hydro-Québec en phytotechnologie

Logo de la Chaire de recherche industrielle CRSNG / Hydro-Québec en phytotechnologie

La chaire de recherche industrielle CRSNG / Hydro-Québec en phytotechnologie a été créée dans le but d’optimiser l’utilisation de la phytotechnologie aux problèmes environnementaux générés par la génération, le transport et la distribution d’électricité. Plus spécifiquement, deux problèmes environnementaux découlent de ce contexte : i) les sites des emprises hydroélectriques menacés par l’érosion et la colonisation par des espèces envahissantes et ii) la contamination du sol et de l’eau due à l’entreposage des poteaux électriques. Les projets de recherche permettront d’approfondir les connaissances scientifiques pour améliorer la gestion de la végétation située sous les emprises hydroélectriques et les sites d’entreposage en plus de faciliter le transfert et l’application de la phytotechnologie à d’autres contextes environnementaux.

EN SAVOIR PLUS

Chaire de recherche du Canada en biologie évolutive mitochondriale

Les organismes répondent aux environnements changeants de deux façons :

  1. Par des changements à court terme au cours de leur vie (modifications épigénétiques et transcriptionnelles);
  2. Par des changements à long terme, c’est-à-dire des réponses évolutives héréditaires.

Alors que plusieurs exemples de ces phénomènes au niveau du génome nucléaire ont été rapportés (variations épigénétiques sous la forme de méthylation de l’ADN et variations génétiques via l’évolution de gènes adaptatifs ou gènes ORFan), les mêmes types de mécanismes pour la mitochondrie et leurs génomes (ADNmt) demeurent largement inexplorés. Ce fossé majeur des connaissances est surprenant compte tenu du rôle central des mitochondries dans les fonctions cellulaires, le vieillissement et les maladies humaines. La Chaire de recherche du Canada en Biologie Évolutive Mitochondriale dirigée par la Dre Sophie Breton abordera cette lacune fondamentale dans notre compréhension des processus d'adaptation et de spéciation grâce à une approche intégrative combinant l'épigénomique, la transcriptomique, la physiologie et la biologie cellulaire pour étudier la capacité des mitochondries et de leurs génomes à s'adapter aux environnements changeants.